dimanche 22 août 2010

DISTANCE



Paris.
20ème arrondissement.
Jour d’été.
Sans marché.
Peu d’agitation.
Visages de partout.
Langues variées.
Pas le long du boulevard de Belleville.
Arrêt.
Rue Ramponeau.
Chambre disparue d’un ami étudiant.
Nouvel immeuble.
Années soixante dix.
Gavage de mots.
Orgie de discours.
Diarrhée de slogans.
L’après mai 68.[1]



BOUAZZA


[1] Au mois de mai 1968 en France, des « revendications » attribuées aux « étudiants » avaient mobilisé « tout le monde » pour une ambiance psychédélique, du sexe « sans frontières », de la baise « enchantée », du cul « libéré », du « plaisir » triomphant, une « nouvelle » conne science (conscience), une société « avant-gardiste » et d’innombrables autres idées « révolutionnaires » que « développent » toujours des impérialo-sionistes de « gauche », du « centre » et de « droite » pour qui les régimes, comme celui en France à l’époque, ne se soumettaient pas facilement aux patrons de l’impérialo-sionisme.
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/

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