Ses grands-parents ayant passé un certain temps dans les colonies, ils l’ont toujours encouragé à quitter la métropole pendant les vacances et à aller là-bas, de l’autre côté de la mer Méditerranée.[1]
Cet été encore, elle prend l’avion avec un nouveau jeune « collègue » pour une virée de deux semaines pendant le ramadan[2]dans un pays dit « musulman ».[3]
Elle ne connaît rien à l’Islam[4] et « s’en bat les couilles ».[5]
Sur son lieu de « travail », beaucoup de personnes s’échangent des pétards[6], se roulent des pelles, se tripotent dans des recoins, se font des pipes, se lèchent, baisent y compris dans les chiottes, se rejoignent dans les véhicules pour fricoter[7] et aménager diverses rencontres afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Ses postures de «responsable syndicale» –toujours soucieuse de satisfaire son con[8] et d’agir pour une pénétration « libératrice » au sein de l’entreprise – sont appréciées aussi bien par les mâles que par les femelles.[9]
Lorsqu’elle se rend à des soirées, elle veille toujours à exhiber des attributs pour mettre des bites en « appétit ».
Elle met souvent des jupes ou des robes courtes, ne porte pas de culotte et s’assoit les jambes écartées afin d’offrir à la contemplation[10] son vagin de « vraie blonde ».
Elle revendique le « privilège » d’appartenir au monde du « sexe sans frontières » et de la « jouissance sans entraves ».[11]
Dans un coin de sa chambre à coucher, à côté d’un pénis en bois d’ébène, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », qui représente une femelle allongée nue sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin et sa toison pubienne.
Elle aime se prendre pour la femelle du tableau.
Parfois, entre deux parties de baise, elle met son doigt, le majeur, dans son con et se livre à un va et vient intense en murmurant que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.[12]
Short moulant donnant du relief à son cul « provocant », chemisette échancrée offrant ses seins « libérés » et découvrant son ventre avec un « bijou »[13] du « piercing nombrilique »,[14] coiffure « sophistiquée », maquillage « aguicheur », déhanchement « étudié », talons aiguilles « sexy » et cigarette « racoleuse »; l’aident à « mettre en valeur » son « potentiel », tout en attendant d’embarquer avec son nouveau jeune « collègue ».
Le pays dit « musulman » où elle se rend,[15] connu pour les horreurs du régime en place, est très apprécié par les touristes et en particulier par les femelles de son espèce, reçues « les braguettes ouvertes ».[16]
Le « chef d’État » de ce pays,[17] installé comme ses prédécesseurs par les forces de l’oppression, maintenu à son poste d’exécutant au service de l’impérialo-sionisme, est autorisé, dans le cadre de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[18] à palabrer sur son rôle de « défenseur de l’islam »[19] pour faire « couleur locale » comme disaient les colonialistes d’antan et comme le répètent leurs con-tinuateurs.[20]
Cet exécutant, produit d’un système des crimes les plus abominables et les plus nauséabonds, se pavane dans un pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est généralisée, où l’usurpation règne, où la pourriture dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion d’être humain ne signifie pas grand-chose.
Dès le décollage, la femelle en short moulant[21] et son nouveau jeune « collègue » ont entamé les préliminaires en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
Au moment de la rupture du jeûne,[22] plus d’une heure avant l’atterrissage, aucune nourriture n’a été proposée à ceux et à celles qui font de leur mieux pour respecter les prescriptions d’Allah.
Ramadan ou pas, les « principes » de la ré-pub-lique[23] guident le vol « laïc ».[24]
BOUAZZA
[1] Albahr alabyad almoutawassite (la mer blanche intermédiaire).
[2] Ramadane, ramadaane, (le « r » roulé), le mois du jeûne pour les croyants et les croyantes.
[3] Lorsqu’elle entend dire par exemple qu’en Islaam les rapports sexuels entre l’homme et la femme ont lieu dans le cadre du mariage, elle s’énerve et souligne qu’elle s’en tape car en sa qualité d’anti-musulmane, elle n’a pas à se soucier des règles dans les pays « musulmans » où elle baise quand elle veut avec des « musulmans » comme elle le fait avec eux en métropole (la confusion entre l’origine ethnique d’une personne et son adhésion à l’Islaam continue d’être entretenue et se traduit, entre autres, par l’assimilation des « arabes » par exemple aux « musulmans » et par la difficulté de comprendre que le Message d’Allaah ne s’adresse pas à une ethnie particulière, mais à tous les êtres humains et que par conséquent, toute personne peut faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande, c'est-à-dire être croyante).
Elle ajoute qu’elle est farouchement contre le port du « voile » par les croyantes en France, car elle veut qu’elles s’intègrent et s’assimilent pour être « libérées » comme elle !
Se reporter à mes textes intitulés « Confiance » et « Intégmilation » (contraction des mots « intégration » et « assimilation »).
[4] L’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allah le demande.
[5] Comme disent les « zonards » et les « zonardes » en région parisienne.
[6] Des joints au cannabis ou autre.
[7] Ce qui n’empêche pas de retrouver les épouses et les époux au domicile con-jugal.
[8] Camp.
[9] Se reporter à mon texte intitulé « Enseignement ».
[10] En préparant la suite.
[11] Se reporter à mon texte intitulé « Défenseurs ».
[12] Se reporter à mon texte intitulé « Baisolution » (contraction des mots « baise » et « révolution »).
[13] Se reporter à mon texte intitulé « Idolâtrie ».
[14] « Technique » de percer le nombril, le sexe, la langue, les seins, le nez, ou autre partie du corps pour mettre un « bijou », et susciter une sorte de « curiosité », d’attirance cul-turelle, d’excitation sexuelle.
[15] Et qu’elle considère comme une possession de la métropole.
[16] « On » dit aussi « les bras ouverts ».
[17] Comme d’autres exécutants d’autres pays dits « musulmans ».
[18] Se reporter à mon texte intitulé « L’indépendance dans l’interdépendance ».
[19] Alors qu’il n’a, comme les autres serviteurs de l’impérialo-sionisme, rien à voir avec l’Islaam.
[20] Continuateurs.
[21] Elle n’était pas la seule et d’autres en pantalons moulants, en jupes ou en robes moulantes, ne manquaient pas.
[22] Al-i-ftar, al-i-ftaar (le « r » roulé).
Lorsqu’ils voyagent, les croyants et les croyantes peuvent ne pas jeûner et rattraper ultérieurement (se reporter aux documents relatifs à ce point).
Cette année en France, le mercredi 11 août 2010 selon le calendrier dit Grégorien, a correspondu au 1er ramadaane 1431.
[23] Comme dirait Pierre Chevènement pour qui la seule ré-pub-lique sur terre est en France !
[24] Parfois cependant, dans le cadre de la propagande pour un « islam laïc », « on » sert un petit quelque chose pour la rupture du jeûne en laissant entendre que ce n’est pas en « con-tradiction » avec le « principe » de « laïcité » qui ne s’oppose pas à la « bienfaisance ».
Se reporter à mon texte intitulé « Ni vendues, ni achetées ».
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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