Dans une note de bas de page relative à aayate 171 (verset 171), sourate 2 (chapitre 2) du Qoraane (Coran), Kachriid rappelle :
« Allaah nous interdit l’imitation aveugle et n’agrée notre foi que si elle est bien acceptée par nos esprits et nos cœurs.
Allaah ne nous a jamais demandé de croire à ce qui vient en opposition avec la pure logique et le bon sens le plus évident.
Ainsi, tout ce qu’Il nous a ordonné de faire n’est en fait que dans notre propre intérêt et tout ce qu’Il nous a interdit ne peut nous faire que du mal ».[1]
Dans un texte intitulé « Un Musulman pour l’Islam », j’ai cité ces phrases de Mohammad Asad sur l’imitation :
«La tendance à l’imitation d’une civilisation est l’aboutissement d’un sentiment d’infériorité. Ceci n’est rien de moins que le fait des Musulmans qui imitent la civilisation occidentale. Ils opposent sa puissance, sa maîtrise technique et sa brillante surface à la triste souffrance du Monde musulman. Ils se mettent à croire, qu’à notre époque, il n’y a pas d’autre alternative au mode de vie occidental. Blâmer l’Islam pour nos propres déficiences est devenue la tendance actuelle.»[2]
Et je m’étais demandé alors si cela traduisait une opposition à tout ce qui vient d’ailleurs, comme certains et certaines le claironnent ?
Pas du tout, était et reste la réponse à une interrogation de ce genre.
«On pourrait toujours recevoir de nouvelles et positives influences d’une civilisation étrangère sans que cela ne soit destructif pour soi.»[3]
« Allaah nous interdit l’imitation aveugle et n’agrée notre foi que si elle est bien acceptée par nos esprits et nos cœurs.
Allaah ne nous a jamais demandé de croire à ce qui vient en opposition avec la pure logique et le bon sens le plus évident.
Ainsi, tout ce qu’Il nous a ordonné de faire n’est en fait que dans notre propre intérêt et tout ce qu’Il nous a interdit ne peut nous faire que du mal ».[1]
Dans un texte intitulé « Un Musulman pour l’Islam », j’ai cité ces phrases de Mohammad Asad sur l’imitation :
«La tendance à l’imitation d’une civilisation est l’aboutissement d’un sentiment d’infériorité. Ceci n’est rien de moins que le fait des Musulmans qui imitent la civilisation occidentale. Ils opposent sa puissance, sa maîtrise technique et sa brillante surface à la triste souffrance du Monde musulman. Ils se mettent à croire, qu’à notre époque, il n’y a pas d’autre alternative au mode de vie occidental. Blâmer l’Islam pour nos propres déficiences est devenue la tendance actuelle.»[2]
Et je m’étais demandé alors si cela traduisait une opposition à tout ce qui vient d’ailleurs, comme certains et certaines le claironnent ?
Pas du tout, était et reste la réponse à une interrogation de ce genre.
«On pourrait toujours recevoir de nouvelles et positives influences d’une civilisation étrangère sans que cela ne soit destructif pour soi.»[3]
[1] Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 32.
[2] Muhammad Asad, l’Islam à la croisée des chemins, Bruxelles, Éditions Renaissance, 2004, p. 110, 111.
[3] Muhammad Asad, op. cit, p. 111.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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