Dans la traduction des aayaate (versets) 19 et 20 de sourate 93,[1] Kachriid précise dans une note en bas de page que « cette vie n’est qu’un champ où l’on sème pour récolter dans l’autre monde. Mais les richesses qu’on accumule sont loin d’être en elles-mêmes une garantie de succès auprès d’Allah[2] et elles peuvent même être une cause de perte éternelle si elles sont mal acquises ou mal dépensées.
Elles peuvent pourtant nous valoir la satisfaction d’Allah si nous ne les recherchons par notre travail honnête que pour les dépenser conformément aux prescriptions d’Allah.
« Quelle bonne chose qu’une fortune bien acquise[3] chez un homme vertueux ! ».[4]
[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 93, (chapitre 93), Addohaa, Le Jour Plein.
[2] Allaah (Kachriid recourt au terme « Dieu » dans sa traduction).
[3] Halaal, licite.
[4] Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 811.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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