Par les chevaux[1] qui halètent.[2] Qui font jaillir des étincelles.[3] Qui montent à l’assaut à l’aube.[4] Qui font voler la poussière.[5] Et pénètrent au milieu du rassemblement ennemi.[6] L’être humain[7] est ingrat envers son Seigneur.[8]
[1] Les coursiers.
[2] Wa al’aadiyaate dabhaa.
Par les chevaux qui galopent en faisant entendre un râle.
[3] Falmouriyaate qadhaa (le « r » roulé).
[4] Falmoughriyaate sobhaa (le « r » roulé).
Qui attaquent le matin.
[5] Fa-a-tharna bihi naq’aa.
Ils soulèvent ainsi chez l’ennemi un nuage de poussière.
[6] Fawaçatna bihi jam’aa.
Et pénètrent au centre de la troupe ennemie.
[7] Al-i-nçaane.
[8] Inna al-i-nççane lirabbih lakanoud (le « r » roulé).
L’Homme est assurément plein d’ingratitude envers son Seigneur.
Alqoraane (Le Coran), sourate 100 (chapitre 100), Al’aadiyaate, Les Chevaux qui Galopent, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
En note de bas de page, Kachriid précise que « ce chapitre commence par un hommage aux chevaux intrépides qui se lancent fougueusement à l’assaut de l’ennemi.
Après sa défaite d’Ouhoud, le plus grand souci du Messager (Mohammad sur lui la bénédiction et la paix), a été de se créer une puissante cavalerie ».
Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 818.
[8] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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