En retournant au Maroc[1] après des études universitaires en France, il y a de cela de longues années,[2] je m’étais installé dans une maison de mon père à Khémisset.[3]
Je reprends ce que j’ai déjà dit concernant cet épisode et d’autres :
« Avant mon arrivée, des membres de la famille qui ne voulaient pas que j’y sois, ont entièrement vidé la maison qui était luxueusement meublée.
Ils ne m’ont même pas laissé un matelas par terre pour dormir avec mon épouse et notre enfant.
Les fils électriques pour mettre des ampoules ont été arrachés, et d’autres dégradations, entreprises.
Je me suis beaucoup occupé des ouvriers qui y ont réalisé de longs travaux :
Réparation des fils électriques sectionnés, réfection de la salle de bain, nouvelle installation d’eau pour remplacer l’installation défaillante, construction d’une cheminée, travaux de boiserie et de ferronnerie, peinture générale et autres.
J’ai rendu à mon père une maison remise à neuf par mes soins, ceux de mon épouse et à nos frais.
J’en garde, malgré tout, un bon souvenir :
Je revenais au Maroc avec mon épouse justement et notre premier enfant, et l’année d’après, nous avons eu notre deuxième enfant.
Après cette maison, nous en avons loué une dans un autre quartier.
Nous y avons passé plusieurs mois, avant de revenir en France où nous sommes encore ».[4]
De son vivant, mon père a été dépouillé de quelques maisons[5] et de beaucoup d’autres choses par certains de mes frères et autres qui n’arrêtent de voler que lorsqu’ils sont empêchés de le faire.[6]
Des personnes qui ont acquis de l’expérience dans le vol et l’usurpation[7] et qui ont toujours essayé de faire croire qu'elles ne prennent que ce qui leur est "donné".[8]
Les imposteurs usent de tout pour tenter de « justifier » leurs impostures.[9]
Ces usurpateurs ne trompent qu’eux-mêmes et le constateront le Jour où quiconque aura fait un atome de bien le verra, et quiconque aura fait un atome de mal le verra.[10]
Je reprends ce que j’ai déjà dit concernant cet épisode et d’autres :
« Avant mon arrivée, des membres de la famille qui ne voulaient pas que j’y sois, ont entièrement vidé la maison qui était luxueusement meublée.
Ils ne m’ont même pas laissé un matelas par terre pour dormir avec mon épouse et notre enfant.
Les fils électriques pour mettre des ampoules ont été arrachés, et d’autres dégradations, entreprises.
Je me suis beaucoup occupé des ouvriers qui y ont réalisé de longs travaux :
Réparation des fils électriques sectionnés, réfection de la salle de bain, nouvelle installation d’eau pour remplacer l’installation défaillante, construction d’une cheminée, travaux de boiserie et de ferronnerie, peinture générale et autres.
J’ai rendu à mon père une maison remise à neuf par mes soins, ceux de mon épouse et à nos frais.
J’en garde, malgré tout, un bon souvenir :
Je revenais au Maroc avec mon épouse justement et notre premier enfant, et l’année d’après, nous avons eu notre deuxième enfant.
Après cette maison, nous en avons loué une dans un autre quartier.
Nous y avons passé plusieurs mois, avant de revenir en France où nous sommes encore ».[4]
De son vivant, mon père a été dépouillé de quelques maisons[5] et de beaucoup d’autres choses par certains de mes frères et autres qui n’arrêtent de voler que lorsqu’ils sont empêchés de le faire.[6]
Des personnes qui ont acquis de l’expérience dans le vol et l’usurpation[7] et qui ont toujours essayé de faire croire qu'elles ne prennent que ce qui leur est "donné".[8]
Les imposteurs usent de tout pour tenter de « justifier » leurs impostures.[9]
Ces usurpateurs ne trompent qu’eux-mêmes et le constateront le Jour où quiconque aura fait un atome de bien le verra, et quiconque aura fait un atome de mal le verra.[10]
BOUAZZA
[1] Mghrib (le « r » roulé).
[2] En 1977.
[3] Lkhmiçaate.
[4] Se reporter à mon texte intitulé « Libération ».
[5] Les moyens par lesquels il avait acquis des « biens » n’étaient pas toujours nets.
[6] Avec des membres de la famille, nous n’avons jamais été dupes.
Nous avons pris nos distances pour éviter d’être éclaboussés.
[7] Il n’y a pas que l’usurpation.
D’autres méfaits « cachés » ne sont pas moins graves.
[8] Après le décès de notre père, j’ai envoyé à ma belle-mère (pas la dernière, mais celle que mon père a épousée en troisièmes noces, lorsque j’avais trois ans) un document signifiant mon désistement concernant « l’héritage ». Je ne lui ai pas répété ce qu’elle n’ignore pas sur les pratiques condamnables relatives à l’acquisition d’un « bien ».
Je n’ai pas cherché non plus à lui rappeler ce qu’elle sait parfaitement, c’est à dire tout ce qui a été soutiré au défunt par mille et un moyens avant son départ pour l’au-delà et les vols qui perdurent.
Mon père n’est pas la seule personne volée, ni la dernière.
Je n’ai pas plus parlé de ce qu’elle ne peut pas nier, à savoir la main mise sur des « biens » par certains de ses enfants, mes frères, qui continuent sans gêne leur manège (se reporter à mon texte intitulé « Héritage »).
Son fils voudrait maintenant vendre la maison qu’il a usurpée à mon père, même si sa mère y habite.
Avec des sœurs, nous essayons de retarder cette vente pour permettre à ma belle-mère de continuer à y habiter et empêcher son fils de l’obliger à aller ailleurs.
[9] Se reporter à mon texte intitulé « Usurpateurs ».
[10] Alqoraane (Le Coran), sourate 99 (chapitre 99), Azzalzala, le tremblement (de terre), La Secousse, aayate 7 et aayate 8 (verset 7 et verset 8).
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
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