À la télévision, dans les locaux d’autres médias, dans ceux du B.A.I.,[1] des services de renseignements, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », ils sont chez eux.
Ils sont intarissables sur la « charia »,[2] la « fatwa »,[3] le « tchador »,[4] le « jihad »[5] et se relaient pour mettre en garde contre la menace « terroriste islamiste ».
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités et ressasser d’inter-minables impostures sur « lisse-lame ».[6]
Intervenants « sans frontière », ils apprécient les « chèques arabes » et se pressent pour servir comme « islamologues » auprès de « dirigeant des États dits musulmans ».[7]
Une petite place commence à être con-cédée[8] à des « musulmans » de service intégmilés,[9] estampillés « laïcs », partisans des « droits de l’homme »,[10] mangeurs de « couscous au saucisson »,[11] buveurs d’« alcool à la menthe »,[12] adeptes de la fornication et de l’adultère,[13] « afic dii bites miou qu’ou blid ».[14]
Ils n’empochent pas les mêmes sommes, mais dit un des leurs, boulitizi[15] :
─ « Si ni ba coum li zoutr, mi si ni ba illigal siloun li saint dika ».[16]
Il n’y a pas si longtemps, je me suis trouvé en groupe, en train d’écouter un « instruit »[17] parmi ces « musulmans » de sirfis[18] :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[19] de lisse-lame est à situer dans le con-texte[20] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[21] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumi digri[22] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[23] ce que le con-frère[24] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[25] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[26]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Musique laïque.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[27]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt. Vous l’introduisez et c’est la fin des soucis !
Avec le tampon hygié-nique kon-cho, vous profitez pleinement de la liberté.[28]
Les rires du groupe explosent.
Dans le cadre de la « collaboration internationale »,[29] Narco, un gradé du B.A.I. recherche toujours les indices pour éliminer les auteurs de cette explosion et mettre les ramifications de leur réseau hors d’état de nuire.[30]
BOUAZZA
Ils sont intarissables sur la « charia »,[2] la « fatwa »,[3] le « tchador »,[4] le « jihad »[5] et se relaient pour mettre en garde contre la menace « terroriste islamiste ».
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités et ressasser d’inter-minables impostures sur « lisse-lame ».[6]
Intervenants « sans frontière », ils apprécient les « chèques arabes » et se pressent pour servir comme « islamologues » auprès de « dirigeant des États dits musulmans ».[7]
Une petite place commence à être con-cédée[8] à des « musulmans » de service intégmilés,[9] estampillés « laïcs », partisans des « droits de l’homme »,[10] mangeurs de « couscous au saucisson »,[11] buveurs d’« alcool à la menthe »,[12] adeptes de la fornication et de l’adultère,[13] « afic dii bites miou qu’ou blid ».[14]
Ils n’empochent pas les mêmes sommes, mais dit un des leurs, boulitizi[15] :
─ « Si ni ba coum li zoutr, mi si ni ba illigal siloun li saint dika ».[16]
Il n’y a pas si longtemps, je me suis trouvé en groupe, en train d’écouter un « instruit »[17] parmi ces « musulmans » de sirfis[18] :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[19] de lisse-lame est à situer dans le con-texte[20] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[21] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumi digri[22] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[23] ce que le con-frère[24] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[25] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[26]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Musique laïque.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[27]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt. Vous l’introduisez et c’est la fin des soucis !
Avec le tampon hygié-nique kon-cho, vous profitez pleinement de la liberté.[28]
Les rires du groupe explosent.
Dans le cadre de la « collaboration internationale »,[29] Narco, un gradé du B.A.I. recherche toujours les indices pour éliminer les auteurs de cette explosion et mettre les ramifications de leur réseau hors d’état de nuire.[30]
BOUAZZA
[1] Bureau des Affaires Indigènes à l’idéologie calquée sur le modèle yankee du Bureau des Affaires Indiennes.
L’appellation est autre, mais c’est du contenu qu’il est question.
[2] Achcharii’a, la législation.
[3] Alfatwaa, avis.
[4] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et désigné en français par l’expression « voile islamiste » qui ne cesse de fleurir en dépit de son interdiction dans les lieux « publics » et des problèmes auxquels font face, avec courage, celles qui le portent.
Qu’Allaah les soutienne et les récompense.
[5] Effort, lutte, combat sacré (en français, le mot est utilisé pour sous-entendre « guerre sainte » livrée par les « terroristes islamistes contre la Civilisation ») !
[6] L’Islaam.
Se reporter à mon texte intitulé « Lisse-lame-au-logis ».
[7] Se reporter à mon texte intitulé « Des États dits musulmans ».
[8] Concédée.
[9] De « intégmilation » (contraction des mots intégration et assimilation).
Se reporter à mon texte intitulé « Intégmilation ».
[10] Enseignés à certains de leurs parents par le colonialisme.
[11] C’est moderne !
[12] Le thé à la menthe, c’est du « folklore »!
[13] La difirsiti, ci soubir (la diversité, c’est super) !
[14] Avec des putes mieux qu’au bled.
Ils bénéficient aussi de certains emplois de porte-serviettes « élus » ou autres dans diverses institutions où des os de porc à ronger leur sont réservés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui con-tribue à la tambouille de la « difirsiti ».
[15] Politisé.
[16] Ce n’est pas comme les autres, mais ce n’est pas illégal selon le syndicat.
[17] Il écrit des livres, sans les « nègres » qu’il ne peut pas encore s’offrir, signe des articles, élargit sa collaboration et saint tirisse ali riche irch (et s’intéresse à la recherche).
[18] De service (certains disent srbice).
[19] La problématique.
[20] Contexte.
[21] Ce phénomène.
[22] Le premier degré.
[23] Soulève.
[24] Confrère.
[25] Connue.
[26] Les terroristes.
[27] Sex-appeal.
[28] Se reporter à mon texte intitulé « Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc », 1992, p.124.
[29] Les serviteurs de l’impérialo-sionisme mis en place à la « tête » des « États dits musulmans », se surpassent pour exécuter les ordres.
[30] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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