Elle n’hésite jamais à s’attaquer l’Islam.[1]
Dans les médias[2] où elle est présentée comme « experte en chefs d’États musulmans »,[3] elle a recours aux multiples impostures pour ressasser tout ce que répètent les impérialo-sionistes et leurs serviteurs afin de « justifier » les agressions et autres contre les croyants et les croyantes[4] qui, depuis Adame[5] sur lui la bénédiction et la paix, font de leur mieux pour Adorer Allah, comme Allah le demande.
Ils continuent et continueront de le faire au-delà du temps et de l’espace et Allah parachèvera Sa Lumière, n’en déplaise à Ses ennemis.
Ce qui la révolte le plus, c’est qu’en Islam, l’homme et la femme ne peuvent pas avoir de rapports sexuels en dehors des liens du mariage.
C’est un « crime contre le sexe » souligne-t-elle.
Elle n’admet pas non plus que les croyantes se couvrent les cheveux.
C’est une « négation de la femme » précise-t-elle.
Si quelqu’un arrive à passer au travers des barrages de la censure impérialo-sioniste et faire savoir qu’elle ne connaît rien à l’Islam, elle se contente de répondre qu’elle « s’en bat les couilles ».[6]
Parmi les « militantes »[7] qu’elle adore, une met souvent des jupes ou des robes courtes, ne porte pas de culotte et s’assoit les jambes écartées afin d’offrir à la contemplation[8] son vagin de « vraie blonde » et « aiguiser » des appétits.
Une autre,[9] une « vraie brune », se met en short moulant pour donner plus de relief à son cul « provocant », en chemisette échancrée pour offrir ses seins « libérés » et découvrir son ventre avec un « bijou »[10] du « piercing nombrilique »,[11] recourt à une coiffure « bandante », à un maquillage « aguicheur », à un déhanchement « étudié », à des talons aiguilles « sexy » et à une manière « racoleuse » de fumer pour « faire chavirer les mecs » ![12]
Avec des « militantes » comme elles et d’autres, elle s’éclate.
« Prend son pied ».[13]
Cette « combativité » dit-elle fièrement, lui vient de la « révolution française » et de « de mai 68 ».
La révolution française expose-t-elle, a ouvert[14] les femmes à la baise patriotique et au mois de mai 1968,[15] nous avons con-tinuer le combat des aînées et lancé l’internationalisme du sexe « sans frontières ».
Il n’y a plus d’étendue vierge pour nos descendantes poursuit-elle, mais elles ont la niaque[16] pour pousser plus profondément la con-quête des corps !
Le temps a passé.
Dans la cuisine où il trône, en souvenir des moments où elle ne restait pas sur sa faim, elle ne cesse de s’en « occuper ».
Il garde toute sa « vigueur » et tout son« éclat ».
Un pénis en or massif.[17]
Réalisé avec les bijoux de famille !
Le mari,[18] la « célébrité »[19] de grand souk,[20] un fortuné[21] de droite-centre-gauche[22] veillant sur l’étable de la loi,[23] ne manquait jamais de préciser que c’est par « engagement avant-gardiste pour l’art » que son épouse[24] est attachée au pénis.
Pour l’art et pour la cul-ture aimait-elle compléter, en éclatant d’un rire de femelle en rut.[25]
Alors, lorsqu’elle se rend dans la cuisine, elle susurre parfois à elle-même que la personne à qui elle va léguer ce pénis, continuellement en érection, saura en faire « bon usage », et le préfèrera même à ceux en chair que toute épouse comme elle, collectionne pour con-tinuer une tradition dont elle a toujours été « profondément pénétrée ».[26]
Il lui arrive de se saisir du pénis, d’y coller ses lèvres pour commencer,[27] de fermer les yeux, de se revoir pendant des ébats et de revivre certaines vibrations, avant de regagner le salon où l’attend le chien.[28]
BOUAZZA
[1] L’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[2] Qui ont fait de son père un homme politique « élu au suffrage universel » mais qui n’a jamais oublié à qui il devait son élection, de sa mère une chro-niqueuse portée sur les langues, de son mari « une célébrité » de supermarché, en guerre contre l’Islaam pour « défendre » ses maîtres de « bonne foi », et d’elle une habituée des plateaux de télévision qui fournit des « journalistes » en chair fraîche, qui connaît intimement « les dirigeants des États musulmans » et qui remplit pour le compte du réseau international des maîtres de son mari, d’importantes missions dans ce domaine.
[3] Les personnes qui font ce qu’elles peuvent pour vivre l’slaam, savent qu’il n’y a pas d’État musulman.
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] Aadame, Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[6] Comme disent les « zonardes » et les « zonards » en région parisienne.
[7] C’est l’appellation qu’elle leur donne.
[8] En préparant la suite.
[9] Habituée des partouses, elle se met au départ avec des allumeuses, prend un air de sainte nitouche, pose son doigt, le majeur, sur son sexe, procède lentement au va et vient et chuchote qu’elle adore se faire sauter, mais pas par un « explosif islamiste ».
Rires, remous dans des braguettes, excitation dans des culottes.
Dans un coin, une femelle voudrait être prise sans attendre par le mâle qui derrière elle, lui pose les mains sur les hanches et bande en fixant le croupion.
Allongé sur un divan, un fan de la « gay-pride » ─ parade des homosexuels et des lesbiennes ─ parle de « baisons futés » et s’excuse pour le « lape-suce » (lapsus), car, susurre-t-il, il voulait dire « bison futé » (l’appellation publicitaire du système de régulation du trafic routier) !
Il est fier du «chemin parcouru» : Il a cessé depuis un certain temps d’avoir des rendez-vous dans des chiottes ou des véhicules quelconques, pour se donner dans des endroits cossus !
Au lit, avec sa femme ─ parce qu’il est époux et père ─ il fait semblant d’ignorer qu’elle préfère s’envoyer en l’air ailleurs, surtout sur le lieu de «travail».
Dans l’escalier, il y a déjà affluence et la queue grossit de plus en plus, car l’espace à l’étage ne peut plus accueillir tout le monde.
Par moments, de drôles de « glapissements » canins se font entendre !
Des effluves se répondent et dans la pénombre, deux femelles s’occupent du bar et renseignent sur la poudre.
Ambiance d’enfer.
Se reporter à mes textes intitulés « Ambiance d’enfer », « Enseignement » et « Baisolution » (contraction des mots « baise » et « révolution »).
[10] Se reporter à mon texte intitulé « Idolâtrie ».
[11] « Technique » de percer le nombril, le sexe, la langue, les seins, le nez, ou autre partie du corps pour mettre un « bijou », et susciter une sorte de « curiosité », d’attirance cul-turelle, d’excitation sexuelle.
[12] Se reporter à mon texte intitulé « Rupture de jeûne ».
[13] Elle jouit.
[14] La « Bastille » a été ouverte dit-elle, et il y avait la « queue » pour y pénétrer !
[15] J’ai toujours eu une préférence dit-elle, pour le slogan « aimez-vous les uns sur les autres ».
Et avec le téléphone portable et internet, je ne vous dis pas !
[16] Rage de vaincre !
[17] Elle n’est pas la seule à avoir un tel « trésor ».
Dernièrement, une vieille et riche héritière a été photographiée avec une s-cul-pture d’un pénis en or sur sa table.
Beaucoup d’autres en possèdent un, pas toujours en or, mais avec les divers matériaux, la « qualité » de l’érection reste « bonne ».
S’agissant de s-cul-pture, il y a peu de temps aux USA (United States of America), quelqu’un a fait la s-cul-pture de la merde de la fille d’une « vedette » masculine de cinéma.
La s-cul-pture a été vendue aux enchères au profit d’œuvres de « charité » !
[18] Un libertin qui apprécie de retrouver des mâles dans des chiottes et des véhicules quelconques.
[19] Qui répand les commérages fondés sur ce qui n’existe pas, sur les mensonges et les impostures de ses maîtres de « bonne foi ».
[20] Grand souq, supermarché.
[21] Dont une partie de la fortune vient du pillage des Indigènes.
[22] Et autres.
[23] De ses maîtres de « bonne foi ».
[24] Une libertine qui a beaucoup donné pour faire connaître son mari.
D’innombrables autres femelles ont servi, servent et serviront dans ce domaine et dans de très nombreux autres.
[25] Lorsqu’elle jetait son dévolu sur une chair fraîche, c’était toujours cul-turel pour elle, et aussi cul-inaire parce que c’est dans les cuisines qu’elle préférait « con-sommer » et « passer à la casserole ».
[26] Et que beaucoup d’autres ressentent profondément.
Certes l’or massif n’y est pas, mais la chair ne manque pas.
[27] Des baisers chastes se murmure-t-elle.
[28] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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